Illustration d’un rouleau du XIIème siècle représentant une scène du chapitre “Le lierre” (Yadorigi, 宿木) du Dit du Genji (Genji monogatari, 源氏物語). Ce livre, le premier roman au monde, a été écrit au XIème siècle, probablement avant 1020, par Murasaki Shikibu (紫式部)

Le Japon est entendu ici dans ses dimensions actuelles, c’est-à-dire comme l’espace compris entre la mer du Japon à l’ouest, l’océan Pacifique à l’est, l’île d’Hokkaido au nord et l’archipel des Ryukyu au sud.

Cette page va regrouper l’ensemble des documentaires disponibles traitant de l’histoire du Japon, et ce depuis la période Jomon (environ 14000 avant notre ère) jusqu’à l’époque contemporaine.

Même si cela peut paraître factice, dépassé et peu opérant scientifiquement, j’ai décidé de découper la chronologie selon un ordre politique, en suivant les successions des différentes dynasties et régimes politiques ayant exercé le pouvoir sur le territoire du Japon. Cela ne doit pas, bien évidemment, être pris comme l’apologie d’une vision ancienne de l’Histoire. Tout classement est, par essence, arbitraire et mériterait discussion. Néanmoins, malgré tous ses défauts scientifiques, celui que j’ai choisi possède l’intérêt d’une plus grande commodité d’utilisation. Mon choix est uniquement celui de la praticité.

Ainsi se succèdent : la période Jomon (environ 14 000 – environ 800 avant notre ère), la période Yayoi (environ 800 avant notre ère – 250 de notre ère), la période Kofun (environ 250 – 538), la période Asuka (538 – 710), la période de Nara (710 – 794), la période Heian (794 – 1185), le shogunat de Kamakura (1185 – 1336), le shogunat Ashikaga (1336 – 1568), la période du Sengoku jidai (1477 – 1603), la période Azuchi-Momoyama (1568 – 1603), le shogunat Tokugawa (1603 – 1868), l’ère Meiji (1868 – 1912), l’ère Taisho (1912 – 1926), l’ère Showa (1926 – 1989) et enfin l’ère Heisei (1989 à nos jours).

Enfin, une dernière partie abordera différents thèmes spécifiques ainsi que les biographies de divers personnages importants. Bon visionnage !

Si des erreurs se glissent dans les documentaires ou qu’il en existe de meilleurs sur un des thèmes traités, n’hésitez pas à me contacter : michel@lhistoirestuncombat.net.

Enfin, comme expliqué dans une autre page, j’enjoins chaque spectateur à ne pas mettre de côté son esprit critique lors des visionnages. En effet, si certains documentaires sont d’une facture générale satisfaisante, un ou plusieurs points – plus ou moins mineurs – peuvent mériter questionnements et critiques. Ces documentaires doivent donc être pris pour ceux qu’ils sont, des discours, avec leurs forces et leurs faiblesses, non des dogmes ou des vérités révélées.